 
 
 
Retour à la page personnelle de Bernard Parisse.15  Le tableur
15.1  Généralités
Le niveau tableur est obtenu avec le raccourci Alt+t et contient :
- 
en haut la barre de menu de ce niveau :
 Table Edit Statistics et
 à coté de cette barre de menus les boutons :
 eval val 2-d 3-d et
une ligne vide qui deviendra après une sauvegarde du tableur (faite par 
exemple sous le nom aa.tab) un bouton
Save aa.tab (sauvegarde que l’on fait la première fois avec le
menu Table▸Sauver tableur comme du texte).
- en dessous, le tableur avec une case sélection, une ligne de commandes,
une ligne d’état et les cellules,
- en dessous du tableur, l’écran de représentation graphique du tableur.
Remarque On peut utiliser la barre de menu du tableur mais pour cela il 
faut déplacer la souris sur un des menus. On peut aussi obtenir la barre de 
menu du tableur, plus directement, en utilisant le bouton droit de la souris : 
en effet, lorsqu’on clique sur le bouton droit de la souris n’importe où dans
le tableur, on fait apparaitre les menus du tableur ce qui évite un déplacement de la souris.
Le tableur de Xcas utilise les conventions habituelles des tableurs :
- 
Nom de cellule.
 Le tableur est une matrice dont on numérote les lignes par des nombres
et les colonnes par une ou plusieurs lettres. 
Le nom d’une cellule est composé d’abord
de la (des) lettre(s) (donc du numéro de colonne) puis du nombre.
Par exemple ligne 2, colonne 3 se noteC2.
Les numéros de lignes commencent à 0 en mode Xcas, 1 sinon.
- Valeur et formule de calcul.
 La valeur d’une cellule peut être une constante ou être calculée par une 
formule pouvant faire
intervenir les autres cellules, qui sont alors désignées par une
référence (cf. ci-dessous). Lorsqu’on modifie une cellule,
on entre soit une valeur constante, soit une formule de calcul
commencant par=.
- Référence relative et absolue.
 Lorsqu’on désigne une cellule depuis une formule, on peut la désigner
relativement à la cellule que l’on définit, ou
de manière absolue. Cela affecte les copies de la formule dans d’autres
cellules, les références absolues copiées correspondront au même
numéro de ligne ou colonne, alors que les références relatives correspondent
au même décalage de lignes ou colonnes. Une référence absolue se note
en précédant la (les) lettre(s) ou/et le nombre de la cellule par le signe $.
- Plage de cellules.
Cela permet de faire référence à un ensemble rectangulaire de cellules,
par exemple pour en calculer la moyenne. On indique les noms
des cellules des sommets en haut à gauche et en bas à droite du rectangle 
séparés par le signe : (par exemple mean(A0:B5)).
15.2  Comment avoir un tableur
Pour créer un tableur, 
il faut utiliser le menu Tableur, 
puis Nouveau tableur ou le raccourci Alt+t.
Remarque
À l’ouverture du tableur, la fenêtre de configuration du tableur s’ouvre
et vous pouvez donner ou ne pas donner un nom au tableur dans la case 
Variable :
- 
vous avez mis un nom dans la case Variable (par exemple M),
 Alors cette variable contiendra la matrice définie par le tableur. De 
plus, cette variable évolue avec le tableur automatiquement.
Lors de la sauvegarde du tableur, c’est ce nom avec le suffixe 
.tab qui servira de nom de fichier (par exemple M.tab) et ce 
fichier contiendra le tableur avec ses formules.
- vous n’avez pas mis de nom dans la case Variable,
 Lors de la sauvegarde du tableur, on vous demande un nom de fichier (par 
exemple MM.tab) (.tab sera rajouté automatiquement si vous 
l’avez omis) et c’est ce nom sans son extension (par exemple MM) qui 
servira de nom de variable : le nom dans la case Variable devient
MM automatiquement.
- vous avez mis un nom dans la case Variable (par exemple M) et
vous voulez sauver le tableur et ses formules sous un autre nom par exemple 
A.tab. Vous faites cela avec Table▸Sauver comme
Dans ce cas le nom dans la case Variable change automatiquement et 
devientA.
On obtient un niveau contenant :
- 
en haut la barre de menu de ce niveau :
 Table Edit Statistics et
 à coté de cette barre de menus les boutons :
 eval val 2-d 3-d Save as <No filename>
- en dessous, le tableur avec une case sélection, une ligne de commandes,
une ligne d’état et les cellules,
- en dessous du tableur, l’écran de représentation graphique du tableur.
Remarque
On peut choisir de :
- 
ne pas avoir d’écran graphique, il faut alors choisir
Cacher graphe dans Edit▸Configuration du 
tableur, ou encore ne pas cocher Graphe dans 
l’écran de configuration du
tableur (que l’on obtient en cliquant sur la ligne d’état du tableur),
- d’avoir l’écran de représentation graphique du tableur à droite du 
tableur il faut alors choisir Graphe portrait dans 
Edit▸Configuration du tableur, ou encore ne pas 
cocher Graphe paysage dans l’écran de configuration du tableur (que 
l’on obtient en cliquant sur la ligne d’état du tableur),
- d’avoir l’écran de représentation graphique du tableur en dessous du 
tableur il faut alors choisir Graphe paysage dans 
Edit▸Configuration du tableur ou encore cocher
Graphe paysage dans l’écran de configuration du tableur 
(cet écran de configuration du tableur s’obtient en cliquant sur la ligne 
d’état du tableur ou avec 
Edit▸Configuration▸ Fenetre cfg).
- On peut enfin faire apparaitre le graphe 2-d ou 3-d associé
à l’ensemble des commandes du tableur ayant une sortie graphique 
en cliquant sur le bouton 2d ou 3d.
15.3  Description du tableur
Les deux premières lignes du tableur sont : 
- 
une ligne composée 
de deux cases :
- 
une case de sélection qui permet soit de sélectionner une cellule 
(en tapant par exemple B0) ou un sous tableau (en tapant par exemple 
B0..D3), ou des colonnes non contigües (par exemple 
B0..3,D), soit de savoir ce que l’on a sélectionné. 
- une ligne de commandes qui permet de modifier une cellule du tableur ou 
de savoir ce qui se trouve dans cette cellule.Attention
Si le curseur
est dans cette ligne de commandes, lorsqu’on clique dans une case, c’est le 
nom de cette case qui va s’afficher dans cette ligne, sans changer la case de 
sélection. Pour enlever le curseur tapez sur Echap ou Escape ou
encore sur la touche d’effacement ←— jusqu’au début
de ligne puis encore une fois. Si le curseur n’est pas dans la ligne de commandes, lorsqu’on clique dans une 
case, c’est la formule de cette case qui va s’afficher dans cette ligne, en
mettant son nom dans la case de sélection (pour avoir la valeur de cette case
il faut appuyer sur le bouton val). 
 
 
- la ligne d’état rappelant la configuration choisie et servant aussi de 
bouton permettant de changer cette configuration.
On détermine la configuration dans le menu 
Edit▸Configuration du tableur ou en cliquant sur 
cette ligne d’état.
On a par exemple dans la ligne d’état :
 * Spreadsheet A R40C6 auto down fill
 cela veut dire que l’on a un tableur qui a été modifié depuis la 
dernière sauvegarde (*), de nom de variable A qui a 40 lignes
et 6 colonnes, il est réévalué automatiquement, le curseur se déplace 
vers le bas lorsqu’on vient de remplir une cellule et une matrice remplit 
plusieurs cellules.Autre exemple :
 - Matrix <> R4C6 manual right cell
 cela veut dire que l’on a une matrice qui n’a pas été modifiée depuis la 
dernière sauvegarde (-), il ne lui correspond pas de nom de variable
(<>), elle a 4 lignes et 6 colonnes, elle n’est réévaluée que si on 
appuie sur le bouton eval, le curseur se déplace vers la droite 
lorsqu’on vient de remplir une cellule et une matrice remplit une seule 
cellule.
 
15.4  L’écran de représentation graphique du tableur
Tous les résultats des commandes graphiques situées dans les cellules du 
tableur s’afficheront dans l’écran de représentation graphique du tableur.
Si on met 1 dans A0,
2 dans B0, =cercle(A0,B0) dans C0 et 
=cercle(B0,A0)
dans D0, alors on obtient le tracé de deux cercles et une modification
de l’une des deux cases A0 ou B0 modifira ce tracé. 
15.5  La barre de menu du tableur
On peut aussi obtenir cette barre de menus en utilisant le bouton droit de la 
souris : lorsqu’on clique sur le bouton droit n’importe où dans le tableur, 
on fait apparaitre la barre des menus du tableur ce qui évite un 
déplacement de la souris.
Le menu Table est composé de :
- 
Sauver pour sauver le tableur dans un fichier d’extension 
.tab.
- Sauver comme pour sauver le tableur sous un autre nom (d’extension
.tab) que celui noté à coté du bouton Save,
- Save selection to variable pour stocker dans une variable
la matrice mise en surbrillance et pouvoir ainsi utiliser cette variable 
ailleurs (calcul formel par exemple). Par exemple si le nom de la variable est
a, a[0,2] donnera la valeur de la colonne 2 de la 
ligne 0 de la sous-matrice sélectionnée
(cette méthode d’export est plus robuste que l’utilisation de 
la commande current_sheet)
- Inserer pour insérer 
à partir de la cellule mise en surbrillance 
un tableur sauvé précédemment,
- Cfg pour ouvrir la fenêtre de configuration du tableur ce qui 
permet de donner (ou non) un nom de variable à la matrice définie par le 
tableur et de choisir d’associer (ou non) un graphe au tableur.
 Si le nom de la variable est tab, tab[0,1] renvera la valeur 
située en B0,
- Exporter/Imprimer pour imprimer le tableur. Vous pouvez 
prévisualiser avant d’imprimer.
Le menu Edit est composé de :
- 
Eval sheet ou F9 pour réévaluer la feuille du tableur ou
encore on appuie sur le bouton eval.
- Copier la cellule pour mettre le contenu d’une cellule dans le 
buffer. En effet la sélection d’une plage avec la souris n’est possible que 
si la plage a au moins deux cellules. On clique dans la cellule à copier, 
puis on clique sur Copier la cellule. On peut aussi cliquer dans la 
cellule à copier et taper Ctrl+c, puis cliquer dans la cellule oú 
l’on veut faire la copie, et taper Ctrl+v. 
- Coller pour copier le buffer dans une cellule. Sous Linux, on peut
utiliser le bouton du milieu de la souris pour copier le buffer. On peut copier
le buffer dans la ligne de commandes du tableur ou d’une autre entrée, mais 
on ne peut pas copier directement dans une cellule : il faut passer 
obligatoirement par la ligne de commandes. 
- Configuration 
La ligne d’état rappelle la configuration choisie et est aussi un bouton 
ouvrant un écran de configuration du tableur.
 Les sous menus sont :- 
Fenetre cfg permet d’ouvrir l’écran de configuration du tableur
(on peut aussi cliquer sur la ligne d’état du tableur),
- Format permet d’avoir un tableur ou un éditeur de matrice 
qui édite facilement des matrices symétriques, antisymétriques,
hermitiennes, antihermitiennes,
- Changer le nombre de lignes permet de choisir le nombre de lignes,
- Changer le nombre de colonnes permet de choisir le nombre de 
colonnes,
- Deplacer -> permet de choisir de diriger le curseur automatiquement
vers la gauche lors du remplissage d’une cellule (on peut aussi utiliser la 
souris au coup par coup),
- Deplacer vers le bas permet de choisir de diriger le curseur 
automatiquement vers le bas lors du remplissage d’une cellule (on peut aussi 
utiliser la souris au coup par coup),
- Recalculer automatiquement pour que le tableur soit recalculé
automatiquement,
- Ne pas recalculer automatiquement pour que le tableur ne soit 
pas recalculé automatiquement : le recalcul ne se fait alors que si on appuie
sur le bouton eval,
- Distribuer une matrice sur plusieurs cellules va permettre de 
remplir 
plusieurs cellules avec une matrice : par exemple si on sélectionne A0
et que l’on tape dans la ligne de commandes du tableur [1,2,3], cela 
remplira 3 cellules, en mettant 1 dans A0, 2 dans B0 et 3 dans 
C0, par contre si on tape dans la ligne de commandes du tableur
=[1,2,3] cela mettra [1,2,3] dans A0.
- Conserver une matrice dans une seule cellule permet de remplir une 
cellule avec une matrice : par exemple si on sélectionne A0
et que l’on tape dans la ligne de commandes du tableur [1,2,3] ou 
=[1,2,3], cela mettra [1,2,3] dans A0.
- Portrait pour avoir l’écran de représentation graphique du 
tableur à droite du tableur,
- Paysage pour avoir l’écran de représentation graphique du 
tableur en dessous du tableur,
- Cacher graph pour ne pas avoir d’écran de représentation
graphique associé au tableur.
 
- Trier pour trier par ordre croissant ou décroissant par rapport
à une ligne ou une colonne (on vous demande laquelle) la sous-matrice mise 
en surbrillance (mais attention cela ne respecte pas les références),
- Remplir :
- 
pour copier automatiquement dans la colonne 
(Copier vers le bas) ou dans la ligne (Copier vers la droite) la 
formule relative située dans la cellule mise en surbrillance ou,
- pour remplir toute la matrice mise en surbrillance avec la formule ou 
la valeur située dans la première cellule enfoncée lors de la mise en 
surbrillance c’est à dire située dans un des "coins" de la matrice : on 
sélectionne la matrice en commençant par le coin où se trouve la valeur
ou la formule à recopier, puis 
Edit▸Copier la cellule enfoncee vers la selection 
remplira cette matrice avec ce qui se trouve dans ce "coin". On peut aussi 
placer la souris dans le coin en bas à droite de la cellule : le curseur se 
transforme en une petite flèche rouge ⇐, puis on clique et on 
bouge la souris sans relacher le bouton de la souris pour mettre la matrice que
l’on veut remplir en surbrillance, puis on relache le bouton de la souris,
- Remplir le tableur de 0 ou Remplir selection de 0
 pour remplir tout le tableur ou la matrice mise en surbrillance avec des 
zéros,
- tablefunc ou tableseq pour avoir dans le tableur, le tableau 
de valeurs d’une fonction (avec la fonction tablefunc) ou d’une suite 
(avec la fonction tableseq).
 
- Add/Delete permet de gérer le nombre de lignes et de colonnes du 
tableur 
(on peut en inserer, en effacer etc..),
- Col+grande pour avoir la colonne d’une cellule sélectionnée
plus large,
- Col+petite pour avoir la colonne d’une cellule sélectionnée
moins large,
Le menu Statistics ouvre pour chaque item une boite de dialogue où l’on
peut préciser : la sélection, la cellule cible (c’est dans cette cellule 
que s’inscrira la commande choisie), si on doit considérer les lignes ou les 
colonnes de la sélection comme argument de la commande (en cochant ou non
Lignes) et 
si on doit mettre les valeurs ou les références de la sélection 
(en cochant ou non valeur).
Le menu Statistics est composé de :
- 
1-d
- 
Boite à moustache  permet de tracer, 
sur l’écran graphique,
associé au tableur, les boites à moustaches des colonnes (ou des lignes si 
Lignes est cochée) des données qui ont été sélectionnées. C’est dans la 
cellule cible que s’inscrit la commande moustache avec comme argument
les valeurs ou les références de la plage sélectionnée selon que 
l’on coche ou non valeur.
- Classes  permet de regrouper en classes la colonne 
de données sélectionnée (ou la ligne si on a coché Lignes) 
ou les deux colonnes (ou les deux lignes si Lignes est 
cochée) sélectionnées representant les
données et leurs effectifs : il faut remplir la valeur minimum de la classe,
la largeur des classes et aussi la cellule cible qui est la première cellule 
à partir de laquelle on écrira les classes sur deux colonnes,
- Histogramme permet de tracer, sur l’écran graphique, 
l’histogramme de deux colonnes sélectionnées representant les intervalles 
de données et leurs effectifs,
 
- 2-d
- 
Scatterplot  permet de tracer sur l’écran graphique :
 si lignes n’est pas coché, les points 
d’abscisse la première colonne sélectionnée et d’ordonnée les autres 
colonnes sélectionnées ou,
 si lignes est coché, les points d’abscisse la première ligne 
sélectionnée et d’ordonnée les autres lignes sélectionnées.
 Les couleurs seront différentes pour les points
dont les ordonnées sont dans des colonnes (resp lignes) différentes.
 Par exemple,- 
si lignes n’est pas coché, on remplit :
 A0,A1,A2,A3 avec 1,2,3,4 et
 B0,B1,B2,B3 avec 1,4,9,16, puis
 on sélectionne la matrice A0:B3 et on ouvre le menu 
Statistiques 2-d Scatterplot.
- si lignes est coché, on remplit :
 A0,B0,C0,D0 avec 1,2,3,4 et
 A1,B1,C1,D1 avec 1,4,9,16, puis
 on sélectionne la matrice A0:D1 et on ouvre le menu 
Statistiques 2-d Scatterplot.
 Une boite de dialogue s’ouvre où la plage sélectionnée est marquée 
(si vous n’avez rien sélectionné il faut remplir cette case) puis,
il faut donner le nom de la cellule cible là où la commande 
scatterplot va s’inscrire. Selon que l’on coche ou non valeur, ce 
sont soient les valeurs soient les références de la plage 
sélectionnée qui seront en argument de la commande scatterplot.
 Supposons que lignes n’est pas coché.- 
Si valeur n’est pas coché dans la boite de dialogue et si la 
cellule cible est C0, dans la ligne de 
commandes du tableur et dans C0 il s’inscrit alors :
 =scatterplot(matrix(4,2,(A0):(B3)))
- Si valeur est coché dans la
boite de dialogue et si la cellule cible est C1, dans la ligne de 
commandes du tableur et dans C1 il s’inscrit alors :
 =scatterplot([[1,1],[2,4],[3,9],[4,16]]).
 Ainsi une modification des 
valeurs de A0:B3 modifira, lors d’une réévaluation du tableur, le 
graphique commandé par la case C0 
mais ne modifira pas le graphique commandé par la case C1. Autrement 
dit, si vous ne travaillez pas en valeur, c’est à dire avec des 
références, à chaque modification, on aura
une modification du graphique et si vous travailler en valeur à chaque 
modification il faudra inscrire dans une nouvelle cellule cible la commande 
scatterplot et on aura alors plusieurs graphiques correspondant chacun 
aux commandes scatterplot situés dans les cellules cibles.
 Attention
 Lorsqu’on sélectionne une plage avec la souris on ne peut sélectionner que 
des colonnes contigües. On peut néanmoins remplir la plage de sélection
de la boite de dialogue avec des colonnes non contigües par exemple :
 si lignes n’est pas coché, on mettra C0..5,A,D pour dire, que les
points que l’on veut représenter ont pour abscisses la colonnes C et 
pour ordonnées la colonne A d’une part et pour abscisses la colonnes 
C et pour ordonnées la colonne D d’autre part.
 Mais dans ce cas scatterplot s’affichera comme si 
valeur etait coché (même si ce n’est pas le cas).
- Polygonplot permet de tracer sur l’écran graphique les points 
d’abscisse la première colonne sélectionnée et d’ordonnée les autres 
colonnes sélectionnées, en reliant entre eux les points dont les 
ordonnées sont dans une même colonne.
 La même boite de dialogue que pour scatterplot s’ouvre. Dans la ligne
de commandes du tableur il s’inscrit alors, par exemple, dans D5 :
 =polygonplot(matrix(3,3,A0:C2)) si ni lignes ni valeur ne 
sont cochés, si la cellule cible est D5 et si la plage sélectionnée
est A0:C2.
 
15.6  Les boutons eval val Save
- 
eval permet de réévaluer le tableur.
- val permet d’afficher la valeur de la case au lieu de la formule
dans la ligne de commandes située à coté de la case de sélection.
Il faut bien sur que cette valeur existe. Cette case doit donc être 
calculée en cliquant auparavant sûr eval si on n’est pas en recalcul 
automatique.
- save permet de sauver le tableur sous le nom indiqué à droite
de Save, si c’est No filename on vous demande le nom choisi qui
doit être un .tab. 
15.7  Pour recopier, à la souris, une cellule dans toute une zone du tableur
Il s’agit ici de recopier avec la souris le contenu de la cellule c’est à 
dire sa formule dans toute une zone du tableur.
Pour cela :
- 
On remplit la cellule qui sera recopiée :
pour cela, si le curseur n’est pas dans la ligne de commandes, 
on clique dans la cellule à remplir, puis on tape = suivi de la 
formule en désignant les éventuelles références avec la
souris, puis on valide par Entree ; sinon,
il faut au préalable enlever le curseur de la ligne de commandes
en tapant sur la touche esc,
- On recopie le contenu de cette cellule : 
pour cela, on clique sur cette cellule, puis
on appuie sur un bouton de la souris dans le coin en bas à droite quand 
le curseur de la souris change de forme de(il devient ⇐ ), 
on déplace alors la souris (bouton 
enfoncé) pour sélectionner la
zone où l’on veut recopier cette cellule, 
puis on relache le bouton de la souris. 
Cela a le même effet que l’un des menus obtenus avec 
Edit▸Remplir▸Copier la cellule....
15.8  Pour recopier, à la souris, une ou plusieurs cellule dans le 
tableur
Il s’agit ici de recopier avec la souris le contenu d’un sous tableau ou d’une 
cellule c’est à dire les différentes formules du sous tableau ou de la 
cellule à un autre endroit du tableur.
- 
Pour recopier, à la souris, un sous tableau du tableur, dans le 
tableur il suffit de sélectionner ce sous tableau à la souris, puis de 
cliquer avec le bouton du milieu sur la case qui débutera le nouveau 
sous tableau ou encore d’utiliser Edit▸Coller 
lorsqu’on a cliqué sur la case qui débutera le nouveau sous tableau.
- Pour recopier, à la souris, une cellule du tableur, dans une cellule 
tableur on clique dans la cellule à copier, puis on utilise :
 Edit▸Copier la cellule
 puis on clique avec le bouton du milieu sur la cellule où l’on veut faire la 
recopie ou encore on utilise Edit▸Coller 
lorsqu’on a cliqué dans la cellule où l’on veut faire la recopie.
Remarque
Si on recopie un sous tableau ou une cellule à l’extérieur du tableur, 
Xcas transforme la recopie en une matrice dont les éléments sont 
les valeurs du sous tableau ou de la cellule. Ainsi si la valeur d’une cellule
est [1,2,3], la recopie de cette cellule à l’extérieur du tableur
la transformera en la matrice ayant 1 ligne et 1 colonne : [[[1,2,3]]].
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